Je ne pensais pas trop me replonger dans un Dicker mais j'ai mis la main sur celui-ci à la bibliothèque . Je me suis laissée tenter. J'avais beaucoup aimé de cet auteur
Les derniers jours de nos pères et j'ai passé un agréable moment avec La très catastrophique visite du Zoo .Mais au bout du compte ici , je suis tombée dans ce que je craignais : une lecture alambiquée et longue. Ceci dit le suspense est bien là.
La ville de Mount Pleasant se réveille un matin en découvrant l'horrible meurtre d'Alaska Sanders.
L'enquête débute avec notamment le sergent Perry Gahalowood et Matt Vance.
Sur la scène du meurtre ils établissent les premières constatations et interrogatoires. L'affaire semble être résolue rapidement, trop rapidement.
Dix ans plus tard l'écrivain Marcus Goldman semble ne pas profiter pleinement de son succès. Plusieurs choses le tourmentent. C'est en allant voir son ancien ami le sergent Gahalowood et par un concours de circonstances que Marcus se retrouve en compagnie du sergent devoir démêler l'affaire Alaska Sanders.
Il leur faudra beaucoup de temps pour démêler les fils de cette histoire très complexe. Les langues se délient au compte goutte, tout n'était que non-dits.
J'ai découvert là une intrigue très tortueuse dont nous prenons connaissance à travers les recherches et autres interrogatoires menés par le duo Goldmen, Gahalowood mais aussi par des retours fréquents en arrière qui nous met devant les faits accomplis.
J'ai aimé voir la relation toute spéciale établie entre Marcus et Gahalowood. Deux amis de longue date mais qui ne s'appellent jamais par leur prénom mais juste par : l'écrivain et sergent.
Une intrigue à rebondissements , bon suspense, mais beaucoup trop tortueuse, trop longue à mon gout.
(Quand Marcus Goldman se fait arrêter par une flic pour excès de vitesse.)
"-Qu'est ce que vous faites à New York ?
-J'y vis.
-ça, je m'en doute. Je vous demande ce que vous faites comme métier.
-Comme métier ? répétai-je
-Oui, votre travail. Votre profession. Votre gagne-pain.
-Je suis écrivain.
Elle ne cilla pas.
-Je suis romancier.
-Elle haussa les épaules :
-Vous ne devez pas être très connu...
-Un peu.
-En tout cas je n'ai jamais entendu parler de vous. Ce sont vos bouquins qui paient une voiture pareille ?
Je souris :
-Non, ça c'est du trafic de drogue."
Cet auteur ne m'a jamais tentée et ton billet ne m'engage pas à le découvrir.
RépondreSupprimerJe ne pense pas le relire de sitôt .
SupprimerL'extrait est marrant, quoique un poil tiré en longueur!. j'avoue n'avoir démarré que le premier roman de Dicker, abandonné, et jamais recommencé.
RépondreSupprimeroui tout ce qu'il écrit est tiré très en longueur.
SupprimerJe n'ai lu que son premier roman, qui m'avait lui aussi paru alambiqué et long.
RépondreSupprimeroui c'est vrai ça ne donne pas envie de le lire .
SupprimerTiré en longueur, c'est dommage.
RépondreSupprimerPour l'instant, j'ai lu 3 Dicker : "Les derniers jours de nos pères"; "Harry Quebert" et "Un animal sauvage". Mais les autres sont dans ma PAL
Merci pour ton passage sur mon blog.
J'ai beaucoup aimé Les derniers jours de nos pères, mais là ça traine trop pour moi.
Supprimer